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Ella Ackerman, épigée faune
Ella Ackerman
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MessageSujet: Ella Ackerman, épigée faune   Ella Ackerman, épigée faune EmptyMar 9 Juin - 2:38
Ackerman Ella
« Je compte bien devenir une meilleure Nymphe »
♦ Age : 157 ans (22 en apparence)
♦ Surnom : Mademoiselle Ackerman, Lala
♦ Sexe : Féminin
♦ Race : Nymphe épigée de type faune
♦ Alignement : Pacifique-combatif
♦ Lieu de naissance : Liones
♦ Groupe : Nymphes
♦ But : Acheter son pardon, remplir sa mission
DESCRIPTION PHYSIQUE
Penser à Ella, c'est surtout l'a transplanter, l'a mettre en scène pour encore mieux l'apprécier. Un décor luxuriant, une posture tantôt pudique, tantôt révélatrice. Un revêtement léger, blanc, un tissus humide, oui, si fin, qu'il serait possible d'entre-voir les frêles bourgeons rosées de ses seins, mûrirent à travers le vêtement. Une poitrine haute, une poitrine ronde. Une poitrine douce, onctueuse. Leurs diamètre alléchant est à lui seul méphistophélique, tant la tentation d'y plonger les mains, le visage, la bouche, les crocs, la passion : est insurmontable. Tant l'odeur chaude, sucrée et florale qui s'en dégage en est démente. Voyez sous ces sphères parfumées comme son ventre est beau, comme sa peau au grain de crème et d'ivoire est lisse. Ses hanches, symbole de fertilité, captive l'attention dans sa démarche. Le métronome s'incline devant ce ce rythme gracieux, ce rythme rédigé. L'arrière en est que plus proportionné, celui que l'on dénomme Gourmandise. Ses jambes, lui permettant d'atteindre un mètre soixante-six convenable, sont d'une folle élégance. La surface, parfois semée de chaire-de-poule. Les cuisses sont palpables, les genoux discrets. Plus bas, de petits pieds égyptiens. Ses bras, précèdent deux mains raffinées aux doigts si frêles, attestant d'une grande fragilité chez cette femme.

Ce corps, cette morphologie, elle embrase les esprits. Vint alors son visage, Souverain de Charme. Ses courbes ovales encadrent un nez saillant, de son arrête jusqu'à son bout. Ses joues mûrissent facilement, n'hésitant pas à trahir moult émotions. Puis, il y a ses lèvres. L'admission à l'empyrée, d'une enrageante majesté. Les commissures sont timidement tournées vers le haut. La partie supérieure se caractérisent par un sculpte détaillé en deux monticules. L'inférieur, lui, est d'avantage charnue. Un grain de beauté vient embellir, telle une parure, l'est de sa bouche. La robe carnation de ce terrible attrait à deux étages continue inlassablement de torturer l'humain dans une joyeuse douleur hormonale. Il y a ensuite ses yeux. Ses yeux. Ses yeux en amandes. Ses yeux aux cils obscures, qui, dans un battement, exposent deux pâles calcédoines. De majestueux iris, hypnotiques. Ils assiègent les mémoires, lubrifiés de tendresse. La nymphe est dotée d'une longue et épaisse chevelure dont la couleur varie en fonction des saisons et de son habitat : châtain le printemps et l'été, brun l'automne puis, blanc l'hivers.

Le poids global n'a rien de surprenant venant d'une nymphe, elle possède aussi cette curieuse particularité d'être assez légère : environ vingt-cinq kilos.

DESCRIPTION MENTALE
On se perd facilement au coin d'une paire de lèvres. A l’exterminé des bouches mielleuses, charnues, aussi savoureuses tant par leurs goûts que leurs teintes. Ella a toujours considérée les nymphes excessivement supérieures aux hommes et ceux de par bien des côtés. Elle revendique son peuple comme l'un des plus aboutis, l'un des plus nobles. Dans le règne de l'homme et de ses Chevaliers Sacrés, il n'y en a pas un qui a su prouver, à ses yeux, que les élues de Mère valaient moins que ces "barbares disgracieux".

Cette cruelle balance ne prend pas en compte les Fées ou les Géants, fort respectueuse vis-à-vis de leurs vécus respectifs. L'évidence recrache elle-même ses ongles, la belle épigée est une affreuse raciste. Elle hait les hommes et ce n'était pas avant moult années que parler ou ne serait-ce murmurer des mots presque "courtois" à un boulanger se fera sans un frisson de révulsion. Consciente des dernières grandes guerres qui ont massacrées une partie de sa race, la rancune semble tenace. La faune a toujours été ambitieuse. Pointilleuse sur tout, sceptique pour tout. Prouver sa force, Ella pourrait y parvenir si elle savait réprimer ses émotions, faire grâce à la tolérance, l'acceptation et l'ouverture d'esprit. Son aversion est omniprésente, or, cachée, dissimulée, enfouie, pour ne pas dire tapie dans un des recoins rocailleux de son cœur martyr. Elle ne voudrait pas donner une mauvaise image des nymphes, quand bien même on ne l'a démasquait pas toujours comme telle. Sans compter le fait de décevoir Mère. Cela ne l'empêchait pas en revanche d'adopter une attitude hautaine, voire méprisante. Ni abordable, ni amicale. Indocile et obstinée. Prête à affirmer savoir dans l’exactitude ce qu'est l'humain. Parfois, elle les enviait. Elle enviait ces êtres "libres d'agir comme bon leur semble". Après tout, ils ne vivaient pas sous la pression de Mère, non, eux, ils étaient détachés de tout, cela est bien connue !

Malgré cette haine qu'elle n'a cessée d'avancer, Ella n'en reste pas moins une individu responsable. Un humain affamé, assoiffé, privé de ses vêtements ou de ses moyens suscitera sa bienveillance, d'une folle constance. Une fois son affection allouée, faune et sœurs, savent sa loyauté, sa générosité, sa force et sa douceur. Elle enveloppe les mœurs et apprécie rendre service, très enclin aux marques d'affection. Ella gémit aussi d'une grande sensibilité.

Ses paroles fleurissent dans l'âme, il ne viendrait à l'idée d'aucun de lever le ton contre, tant son visage auguste, transpire de bonté. Elle semble si gentille, si tendre, si ponctuelle... Pour comprendre Ella, il faut déjà lui porter attention (jusque là rien de difficile) et l’écouter parler. C’est une femme pensive, dont la discrétion a mainte fois porter ses fruits dans sa recherche incessante de sécurité. Une personne curieuse, même si cela concerne uniquement ce qui l'intéresse et non pas la globalité de ce vaste monde. Elle ne profite que trop peu de sa longévité. Bien qu’aimant s’amuser, cet indiscutable exemple de Beauté s’ennuie profondément.
HISTOIRE
Je me nomme Ella, avec pour nom d'emprunt Ackerman. Je suis une épigée, une Nymphe terrestre liée à la nature avec comme être de prédilection le Lepus timidus, une race de lièvre capable de changer la couleur de son pelage selon les saisons afin de se dissimuler des prédateurs. Je ne suis pas dotée d'attributs animal comme la plupart de mes sœurs. En revanche, je suis capable de changer trois fois la couleur de mes cheveux selon les saisons ou la température de mon corps : châtains, bruns et blancs. J'adore tout particulièrement revêtir celles d'automne, de printemps et d'été.

Tout comme mes semblables, je suis née sous ma forme de prédilection, au cœur des bois les plus proches de Liones. J'ai été bénit par Mère avant de prendre forme humaine. J'ai bien sûr été chargée du même devoir : "rapprocher l'homme de la faune, de la flore, de la terre qui l'a vue naître". Cette forme tout comme ce dessein, ne m'enjoue pas tellement. Depuis combien de temps je suis comme cela d'ailleurs... Ah, oui. Cent-cinquante ans environ. Cent-cinquante ans que je reflète l'apparence d'une jeune femme d'une vingtaine d'années et je n'ai jamais souhaitée tisser des liens avec le moindre humain. Qu'il soit homme, femme ou enfant.

Pourtant modelée à l'image du Fantasme comme un être dit "d'une beauté époustouflante" -je me demande bien comment-, j'ai préférée la solitude, tapis dans l'ombre de plusieurs forêts aux quatre coins de la région, jusqu'à ce qu'on l'on me découvre et que je finisse par m'enfuir. Je suis devenue omnivore et me contente de peu de choses. Malgré cette charge de souvenirs désagréables liés à mon ancienne vie, j'affectionne énormément la forêt. Jadis, sous ma forme de lièvre, j'étais la cible de chasseurs et de chiens errants. C'est à cause de cela que j'ai commencée à développer une peur que je qualifierais "d'agonisante", tant chaque aube, chaque midi, chaque lune se jouait dans la plus extrême survie. Puis, il y a eut les guerres, nos sœurs sont tombées. J'ai eue beau prier Mère dans l'espoir qu'elles donnent grâce de ma peur, de mon chagrin. En vain.

Sur ce que j'appellerais un "coup de tête", j'étais retournée sur ma terre natale, armée d'une lourde requête : Trouver quelqu'un pour m'enseigner la discipline de l'arc. Furtif, efficace et surtout à distance, cela me semblait être le meilleur moyen de tenir les hommes éloignés. J'étais on ne peut plus stimulée par ce besoin de prouver que nous étions supérieures à "ça". On me chassait à l'arc, je comptais bien inverser les rôles. Seule Echo, une ouranie, sœur indulgente, avait accepté de m'apprendre ce qui faisait l'opposé d'une Nymphe : le combat. Sept ans de pratique qui me parut durer sept lunes, suffirent à faire de moi une bonne archer. Parfois, je recouvrais mes flèches de feuilles d’orties. J'ai toutefois des difficultés à prendre en compte la direction du vent, ce qui me fait rater la plupart de mes flèches. Je n'ai pas pour habitude de me servir de mes pouvoirs terrestres, ces derniers étant assez faibles. Aujourd'hui honteuse, je l'avoue, je n'avais jamais hésité à tirer si un mortel venait à sévèrement outrager mon intimité. Cette forme est un véritable fardeaux lorsqu'il s'agissait des mâles. Il m'est interdit de tuer et je n'en ressent pas la quelconque pulsion, non, je faisais soigneusement en sorte de tirer à quelques centimètres des bras, des jambes ou des épaules. L'humain porte ses jambes à son cou, je regagne alors tranquillité.

Récemment, il s'est passé quelque chose de plutôt grave... je n'aime pas en parler. Un regrettable "incident de bain".

Une trempette nocturne dans un lac, un buisson frissonne, quelques doigts visibles entre les feuilles... que pouvais-je faire d'autres ? M'enfuir, tout simplement. Que nenni. Au lieu de cela, j'avais tirée. J'avais tirée une flèche hasardeuse avec l'arc que je gardais à ma hauteur, dans la jambe d'une promeneuse. Elle était âgée. En âge humain elle devait avoir la cinquantaine, c'était déjà avancée pour eux ! Lorsque je pris conscience de cette odieuse erreur, mes mains se raidirent comme dans une mort soudaine. Mon esprit fusait, ma conscience bouillonnait : j'étais submergée par l'indignité. Ciel, elle se roulait par terre, gémissait et pleurait en criant de sa voix rauque "ma jambe ! Ma jambe ! Seigneur aidez moi !!"

Ma flèche avait été vierge cette fois-ci. J'avais beau m'excuser, lui répéter que ce n'était pas mon intention. Pourtant, il y avait toujours cette douleur dans ses yeux, cette aigreur dans ses larmes. A quoi bon se justifier à quelqu'un qui souffrait. Certes, je suis inamicale mais j'étais surtout garante d'un lourd malentendu qui avait fini dans le sang. Mes pouvoirs terrestres avaient été d'une faible utilité : N'étant pas une Nymphe de haut rang à cause de mon "racisme" -que je n'assume pas-, je ne pouvais guère faire plus que vaguement désinfecter et cesser la coulée de sang. C'était insupportable de devoir se concentrer en supportant des pleures et des plaintes. Surtout quand on en était la seule fautive. Que la Lumière Divine m'entende, je me sentais si honteuse, si coupable... j'aurais souhaitée que l'on me foudroie dans l'instant. Au bout de vingt minutes d'acharnement, elle avait daignée baisser d'un ton le temps que je l'a porte sur mon dos. Je pouvais sentir sa poitrine battante. Elle avait peur. Peur de moi.

Peur d'une Nymphe. Disgrâce suprême.

Il y avait un village à la sortie de la forêt, je m'étais dépêchée de l'abandonner au pied de la première maison éclairée, puis, rebroussa chemin juste avant d'être aperçue. Elle se souviendra de mon visage, elle se souviendra de ma voix, de cet acte de violence et de lâcheté impardonnable envers ceux que j'étais chargée de préserver. De retour sur le lieu de l'incident avec pour seul revêtement cet infinie remord, j'implorais Mère de me laisser une seconde chance, de pardonner ma Colère, de tout reprendre, de faire les efforts nécessaires. Je portais le fardeaux de cette culpabilité. Cette humiliation pour le peuple Nymphe, de n'avoir qu'à peine pu soulager la plaie d'une innocente femme tandis que mes sœurs étaient aptes à guérir l'infection la plus purulente. D'un geste sec, submergée par les larmes, je brisa l'arc contre mon genoux, supprimant ainsi ce qui m'avais changée en ordurière. Moi, l'épigée, n'eut d'autres choix que d'accepter, cent cinquante-sept ans plus tard, ma mission divine, au risque de retourner sous ma forme animal et de perdre définitivement la confiance de Mère. Je sentais mon pouvoir s'affaiblir. A ce rythme, je ne serais bientôt plus capable de quoique ce soit de miraculeux. Je serais privée de cet aspect humain qui me permettait de survivre plus aisément qu'en lièvre, quand bien même je m'en plaignais.

Dernièrement, mes pas m'ont guidée à Liones. Je songe même... à travailler parmi les humains.
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MessageSujet: Re: Ella Ackerman, épigée faune   Ella Ackerman, épigée faune EmptyDim 14 Juin - 22:55
Ella Ackerman

Bienvenue! Tu es validée c: Tout d'abord, il faut dire que ta fiche est assez particulière. Beaucoup de fautes au début et pratiquement rien vers la fin, ça ne se voit pas souvent. Tu formules par moment tes phrases de manière assez.. Étrange. Ton personnage est intéressant malgré quelques petits détails banaux. Pour finir, la longueur est correcte. Donc voici donc tes notes:


♦ Longueur : 89/150
♦ Orthographe : 126/200
♦ Originalité : 304/450
♦ Qualité : 115/200
♣ Total : 634/1000
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